Qui l’écrit et pourquoi ?

Le mémoire infirmier représente le projet final des futurs infirmiers pendant leurs études. C’est l’occasion rêvée de creuser un sujet qui les passionne dans leur futur métier. C’est un peu comme une enquête personnelle sur un aspect des soins qui leur tient à cœur.

Les étudiants rédigent ce document généralement vers la fin de leur formation. Ça leur permet de montrer qu’ils sont prêts pour le terrain, qu’ils savent réfléchir aux défis quotidiens du métier. D’ailleurs, les infirmiers qui reprennent des études peuvent aussi avoir à en écrire un pour enrichir leurs compétences.

La vraie valeur de cet exercice, c’est d’apprendre à prendre du recul sur leur pratique. Les étudiants observent leur environnement, décryptent les situations délicates et proposent des solutions concrètes pour améliorer les soins. C’est comme un entraînement grandeur nature pour devenir un soignant plus avisé.

Nous sommes des professionnels

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Les types de mémoire de soins infirmiers

  • Mémoire fin d’étude infirmier

Vous savez, pour écrire votre mémoire d’études en soins infirmiers, la démarche reste assez classique. Mais attention, chaque école a ses petites particularités ! Le mieux, c’est vraiment de bien regarder ce que votre établissement demande, ça vous évitera des surprises de dernière minute.

  • Mémoire infirmier diabète

Parlons du mémoire sur le diabète. En fait, c’est un travail que vous pouvez faire soit pendant vos études d’infirmier, soit plus tard, quand vous êtes déjà en poste. Le but ? Creuser un sujet précis sur la façon dont on s’occupe des patients diabétiques. C’est super intéressant comme domaine !

  • Mémoire infirmier soins palliatifs

Les soins palliatifs, c’est avant tout permettre aux patients de vivre au mieux cette période difficile. L’équipe soignante est là pour soulager leur douleur, mais pas que. Elle prend aussi le temps d’écouter leurs angoisses, de garder un contact étroit avec leurs proches. Et quand ça compte pour le patient, elle apporte aussi ce soutien spirituel dont certains ont besoin. Chacun est différent, alors l’accompagnement s’adapte à ce qui est important pour la personne.

  • Mémoire infirmier pédiatrie

Et puis il y a le mémoire en pédiatrie. Là, on plonge dans l’univers des tout-petits jusqu’aux ados. C’est passionnant, car il faut vraiment comprendre leurs besoins particuliers. Les enfants, ce ne sont pas juste des adultes en miniature ! Il faut adapter tous les soins en fonction de leur âge et de leur développement. C’est un domaine qui demande beaucoup de douceur et de créativité.

  • Mémoire infirmier soins relationnels 

Parlons des liens qui se créent entre soignants et patients. C’est au cœur de votre métier d’infirmier, non ? Chaque jour, vous tissez des relations précieuses. Un petit mot gentil par-ci, une oreille attentive par-là… C’est fou comme ça change tout dans les soins ! Votre mémoire pourrait montrer comment ces échanges transforment la vie à l’hôpital.

  • Mémoire infirmier néonatologie 

Les tout-petits en néonat, quel sujet passionnant ! Vous le savez, ces bébés nés trop tôt ou malades ont besoin d’une attention de tous les instants. Votre mémoire peut raconter le quotidien si particulier de ce service. Entre les couveuses, les parents inquiets et ces minuscules patients qui se battent… Il y a tant à dire sur ces soins si spéciaux.

  • Mémoire infirmier maladie d’Alzheimer 

La maladie d’Alzheimer, parlons-en. Vous voyez ces patients qui perdent peu à peu leurs souvenirs, leurs repères… C’est dur pour eux, pour leurs proches. Dans votre mémoire, vous pouvez décrire comment on prend soin d’eux au quotidien. Comment on s’adapte quand la mémoire s’efface, quand le comportement change. Il y a mille façons d’aborder ce sujet qui touche tant de familles.

  • Mémoire infirmier maladie chronique 

Vous pouvez parler des maladies qui durent dans le temps, un sacré défi pour les soignants. Prenez par exemple une personne qui a du diabète ou de l’hypertension. Ces patients, on doit les suivre sur le long terme. Et puis il y a aussi l’asthme, les soucis de cœur, le cancer… Tout ça change vraiment la vie des gens au quotidien. Il faut être là pour eux, avec des soins bien adaptés à chaque situation.

  • Mémoire infirmier autisme 

Parlons maintenant de l’autisme. C’est quelque chose de particulier, vous savez. Les personnes autistes voient le monde différemment. Elles ont parfois du mal à communiquer ou à être avec les autres. En tant que soignant, il faut savoir s’adapter. Chaque personne autiste est unique, donc les soins doivent vraiment être sur mesure. C’est comme si vous deviez apprendre une nouvelle langue pour chaque patient.

Sujet mémoire infirmier

Comment bien choisir son sujet de mémoire en soins infirmiers ? Voici des conseils utiles pour vous guider :

  • La passion avant tout

    Vous aimez un domaine particulier des soins ? Super, partez de là ! C’est tellement plus agréable de travailler sur quelque chose qui vous parle vraiment. En plus, ça aide vachement pour tenir sur la durée, croyez-le.

  • Repérer ce qui pose problème

    Dans votre quotidien d’infirmier, vous avez sûrement remarqué des trucs qui coincent ou qui pourraient être améliorés ? Eh bien, c’est parfait pour un mémoire ! Ça peut être sur les soins aux patients, leur sécurité ou même la façon dont on gère certains symptômes.

  • Du concret avant tout

    Choisissez un sujet qui a du sens sur le terrain. L’idéal ? Un truc qui pose vraiment problème dans les services et qui mérite qu’on s’y attarde. Les collègues apprécieront d’avoir des réponses concrètes à leurs questions quotidiennes. 

  • Sortir des sentiers battus

    C’est cool d’explorer des chemins moins connus ! Pourquoi ne pas regarder un sujet classique sous un angle nouveau ? Ou carrément partir sur quelque chose dont personne ne parle ? Votre travail n’en sera que plus intéressant.

  • Faire le tour de ce qui existe

    Avant de foncer tête baissée, jetez un œil à ce qui a déjà été écrit. Vérifiez qu’il y a assez de docs pour nourrir votre réflexion : bouquins, articles, études… Pas besoin d’une montagne, mais quand même de quoi travailler sérieusement. 

  • Garder les pieds sur terre

    Soyez réaliste dans votre choix. Pensez au temps dont vous disposez et aux moyens que vous avez. C’est important de pouvoir accéder facilement aux infos dont vous aurez besoin. Mieux vaut un petit sujet bien traité qu’un gros projet impossible à boucler.

  • Le dialogue avec l’équipe enseignante

    Allez voir vos professeurs pour échanger sur votre projet. Un rendez-vous rapide entre deux cours ou après les cours peut faire toute la différence. C’est toujours enrichissant d’avoir leur point de vue, car ils connaissent bien le terrain. Leur expérience est une vraie mine d’or pour vous aiguiller. Ces échanges sont super précieux. Les enseignants ont vu passer des tonnes de sujets, ils savent ce qui marche. Leur expérience peut vraiment vous mettre sur la bonne voie.

  • Les retombées concrètes

    Réfléchissez un peu à ce que votre travail va apporter aux patients. En quoi ça va aider les infirmières dans leur quotidien ? Il y a sûrement des choses à améliorer dans les soins ou dans l’organisation du service. Votre recherche pourrait même influencer la façon dont on soigne les gens demain.

  • L’esprit d’aventure

    Ne restez pas coincé dans les sentiers battus. Osez sortir des chemins habituels. Les soins infirmiers évoluent très vite. Il y a plein de nouveaux outils, de nouvelles approches à explorer. Parfois, les meilleures idées viennent quand on regarde ailleurs. Laissez-vous surprendre par des pistes auxquelles personne n’avait pensé avant.

Voici quelques exemples de sujets de mémoire infirmier :

Vous cherchez des idées pour votre mémoire d’infirmier ? En voici quelques-unes qui pourraient vous intéresser, basées sur des situations réelles du terrain:

Prenez par exemple les soins aux patients diabétiques de type 2. Comment améliorer leur prise en charge avec des méthodes qui ont fait leurs preuves ? C’est une question passionnante à creuser.
Un autre sujet qui touche beaucoup d’entre nous : comment empêcher les chutes des personnes âgées quand elles sont hospitalisées ? Il y a tant à faire dans ce domaine.
Vous pourriez aussi vous pencher sur ceux qui souffrent de maladies chroniques et leur rapport aux médicaments. Comment les aider à mieux suivre leur traitement grâce à des séances d’information adaptées ?
La santé mentale du personnel soignant, parlons-en ! Quelles solutions envisageables peut-on mettre en place pour aider les infirmières à tenir le coup ?
Les soins post-opératoires en chirurgie cardiaque: comment faire pour que le retour à la maison se passe au mieux ?
Le numérique dans les soins, c’est un autre monde à explorer. Comment utiliser ces outils pour mieux accompagner les malades chroniques ?
Pourquoi certaines infirmières suivent les protocoles à la lettre et d’autres moins? C’est fascinant comme sujet.
Les infections à l’hôpital, surtout en réanimation, c’est le cauchemar de tous. Quelles méthodes marchent vraiment pour les éviter ?
La communication entre soignants, quel vaste sujet ! Comment faire pour que tout le monde se comprenne mieux ?

Et pour finir, comment aider les patients qui souffrent depuis longtemps à mieux gérer leur douleur au quotidien ?

Un dernier conseil : parlez-en avec vos profs ou votre directeur de mémoire. Ils sauront vous dire si ces sujets collent bien avec votre formation.

Quelques exemples de problématiques d’un mémoire infirmier

Santé mentale Comment améliorer l’accompagnement des patients souffrant de troubles psychiques en soins généraux ?
Burn-out infirmier Quels sont les leviers pour prévenir l’épuisement professionnel dans un contexte de surcharge de travail ?
Soins palliatifs Comment améliorer la communication entre soignants, patients et familles en fin de vie ?

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Plan d’un mémoire infirmier

C’est important de bien s’organiser, de la première à la dernière page. Bien sûr, chaque école a ses petites habitudes et ses règles. D’ailleurs, le mieux serait de commencer par jeter un œil aux consignes de vos profs, ils ont sûrement des attentes particulières.

Faites-vous accompagner aussi par votre superviseur, il pourra vous guider sur ce qui marche le mieux dans votre établissement. Les mémoires peuvent prendre différentes formes selon où vous étudiez.

Cette proposition de plan n’est qu’un point de départ. Vous pourrez l’adapter selon les retours de votre équipe enseignante. L’essentiel est de suivre les recommandations de votre école.

Quelques petits conseils : gardez bien les documents avec les consignes sous la main, et n’hésitez pas à poser des questions à vos encadrants. C’est normal d’avoir besoin de précisions !

Remerciements

N’oubliez pas de remercier les personnes qui ont fait de ce bout de chemin avec vous. Les profs ont donné de leur temps et de leur expertise. Vos amis étaient là dans les coups durs; un café par-ci, un message par-là. Et votre famille ? Toujours derrière vous, à vous pousser vers l’avant quand vous aviez envie de tout lâcher.

Résumé ou abstract

Racontez en quelques phrases l’essentiel de votre travail. Commencez par présenter le sujet qui vous a passionné. Expliquez ce que vous vouliez découvrir au départ. Décrivez comment vous vous y êtes pris pour trouver des réponses. Et enfin, partagez ce que vous avez appris de plus important.

Table des matières

La table des matières doit être claire et pratique. Notez chaque partie avec son numéro de page correspondant. Les lecteurs pourront ainsi passer d’une section à l’autre sans perdre de temps, un peu comme un GPS qui vous guide vers l’endroit exact où vous souhaitez aller dans votre travail.

Introduction :

Parlons d’abord du pourquoi de cette recherche et de ce qui vous a poussé à choisir ce sujet

Que souhaitez-vous accomplir à travers cette étude ? Quels sont vos buts ?

Quelles questions vous posez-vous ? Quelles réponses espérez-vous trouver ?

En quoi votre travail va-t-il aider les infirmières dans leur quotidien ?

Un petit aperçu de ce qui vous attend dans chaque partie du mémoire

Revue de la littérature :

Voyons ce que les autres chercheurs ont déjà écrit sur le sujet

Où sont les zones d’ombre ? Que manque-t-il dans les recherches actuelles ?

Faisons le point sur ce qu’on sait déjà et les grandes idées à retenir

Sur quelles théories allez-vous vous appuyer ? Quels modèles vous semblent utiles ?

Méthodologie :

Comment allez-vous mener votre étude ? Quelle approche vous semble la plus adaptée ?

Qui sont les personnes concernées par votre étude ? Comment les avez-vous choisies ?

Comment allez-vous recueillir vos informations ? Par des discussions, des questionnaires ?

Une fois ces informations en main, comment allez-vous les analyser ?

Comment protégez-vous les participants ? Quelles règles d’éthique suivez-vous ?

Résultats :

Vos résultats méritent une présentation simple. Partagez vos découvertes comme si vous racontiez une histoire à un collègue. Pour que tout soit clair, ajoutez quelques graphiques bien choisis; ils valent mieux qu’un long discours. Prenez le temps aussi d’éclairer le sens de vos trouvailles, sans jargon inutile. Un bon tableau ou un schéma bien pensé peut faire toute la différence pour faire passer votre message.

Discussion :

Regardez si vous avez atteint ce que vous vouliez au début. Comparez avec ce que d’autres personnes ont trouvé avant vous. Expliquez comment vos découvertes peuvent aider les infirmières dans leur travail de tous les jours. Parlez aussi franchement des points faibles de votre étude. Donnez des pistes pour ceux qui voudraient continuer votre travail plus tard.

Conclusion :

Faites le point sur les choses importantes que vous avez trouvées. Montrez si vous avez répondu aux questions que vous vous posiez au début. Expliquez pourquoi votre travail est utile pour les soins et le monde de la santé.

Références bibliographiques :

Listez tous les documents qui vous ont aidé à faire votre travail. Suivez bien les règles qu’on vous a données (comme APA ou MLA) pour les écrire correctement.

Annexes (si nécessaire) :

Mettez ici tout ce qui peut être utile pour mieux comprendre votre travail : vos questionnaires, la façon dont vous avez mené vos entretiens, des tableaux avec plus de détails, etc.

✏️ Correction

La rédaction urgente est possible si le nombre de pages ne dépasse pas
1 jour/50 pages

4-15 €

Par page

  • Mise en forme du document

  • Relecture et correction

  • Amélioration du texte

✒️ Rédaction

La correction urgente est possible si le nombre de pages ne dépasse pas
1 jour/20 pages

18-25 €

Par page

  • Rédaction de travail selon vos exigences

  • Modifications gratuites illimitées

  • Rapport de plagiat gratuit

Garantie de qualité ✅ inclus
Rédacteurs compétents ✅ inclus
Rapport de plagiat en cas de rédaction à partir de 0 ✅ inclus
Manager personnel 7/7 ✅ inclus
Assistance à l’élaboration de votre plan ✅ inclus
Rédaction de la page de couverture ✅ inclus
Appel anonyme avec le rédacteur 30 €
Période de garantie jusqu’à 1 an ✅ inclus
Corrections gratuites ✅ inclus
Remise sur les commandes répétées jusqu’à – 30%
Garantie de remboursement ✅ inclus

Comment écrire un mémoire infirmier ?

Vous vous apprêtez à rédiger votre mémoire infirmier ? Voici les étapes essentielles pour bien s’organiser et réussir ce travail :

  • Trouver son sujet

    Regardez autour de vous dans le service. Quel patient vous a marqué ? Quelles situations vous interpellent ? Par exemple, vous avez peut-être remarqué des difficultés avec l’accueil des familles en réanimation, ou alors la gestion des patients douloureux chroniques vous questionne depuis votre stage en médecine.

  • La définition du problème central

    C’est comme poser la question à laquelle vous voulez répondre.. Imaginez que vous discutiez avec un collègue, quelle est la vraie question qui vous préoccupe dans votre sujet ? Il s’agit de la problématique. 

  • La recherche documentaire

    Faites le tour de ce qui existe déjà sur votre sujet. Regardez dans les revues infirmières, les livres du domaine, les articles en ligne. C’est comme mener l’enquête pour voir ce que d’autres soignants ont déjà découvert.

  • Les buts à atteindre

    Maintenant que vous avez fouillé le sujet, définissez ce que vous cherchez vraiment à comprendre ou à prouver. C’est un peu comme se fixer une destination avant de partir en voyage, où voulez-vous arriver avec ce travail ?

  • La façon de s’y prendre

    Expliquez comment vous allez vous y prendre concrètement. Est-ce que vous allez plutôt parler avec des gens, faire des questionnaires, ou les deux ? C’est comme expliquer votre plan d’action à quelqu’un qui voudrait refaire la même chose.

  • Collecte des données

    Les échanges directs avec le personnel soignant apportent beaucoup. Pensez aux discussions informelles pendant les pauses café. Les questionnaires aident aussi, tout comme les observations sur le terrain. Les rapports d’équipe contiennent souvent des pépites d’information.

  • Analyse des données

    Une fois tous les éléments en main, prenez du recul. C’est comme faire un puzzle, chaque pièce trouve sa place petit à petit. Certains points ressortent naturellement, d’autres demandent plus d’attention.

  • Discussion des résultats

    Vos découvertes méritent d’être partagées clairement. Que peuvent en tirer les équipes soignantes ? Les autres études montrent parfois des résultats différents, parfois similaires, c’est enrichissant d’en parler.

  • Conclusion

    Cette dernière partie résume vos points essentiels. Le but ? Améliorer concrètement le quotidien des infirmiers. N’hésitez pas à pointer les aspects perfectibles de l’étude, cela ouvre la voie à d’autres recherches.

  • Bibliographie

    Notez toutes vos sources avec soin, comme un carnet d’adresses précieux. Ces références permettront à d’autres chercheurs de creuser le sujet plus tard.

Mise en page

Une fois qu’on a établi un plan à suivre, il faut passer à la rédaction. Le document doit avoir une bonne mise en forme.  Voici quelques astuces :

On doit retrouver sur la page de garde :

  • le titre du document
  • le nom de l’auteur
  • le cours ou le domaine d’étude
  • le nom de l’établissement
  • la date.
  • Utilisez le format A4.
  • Les réglages standards des éditeurs de texte conviennent. Mais dans le cas où une marge est spécifiée, pensez à l’appliquer.
  • Choisissez une police simple de taille 12. Les styles Arial ou Times New Roman sont conseillés.
  • Définissez la valeur de l’espacement sur 1,5.
  • Le lecteur doit pouvoir distinguer facilement les différents niveaux de titre. Appliquez le style H1 aux titres de sections et H2 aux titres moins importants.
  • Les sections doivent se suivre dans le même ordre qu’ils apparaissent dans la table des matières.

Ces conseils vous aideront à soigner la forme de votre document. Toutefois, ce ne sont pas des pratiques absolues. L’université peut parfois donner elle-même des directives à suivre concernant la mise en forme du document.

La soutenance

C’est la toute dernière étape de votre projet de mémoire. Vous devez présenter votre travail devant un jury. Voici les conseils pour réussir la présentation :

Il est important de bien lire le document et de le connaître sur le bout des doigts. Cela permet d’avoir plus de confiance en soi et de faire la présentation de façon naturelle.

N’utilisez pas un registre trop soutenu. Servez vous de mots simples pour présenter les différentes sections de votre document. Donnez la priorité aux passages clés et illustrez vos mots avec les supports et exemples.

Adoptez une bonne posture et regardez le jury. Servez vous du langage corporel pour montrer votre maîtrise du sujet. Interagissez par moments avec le jury. Vous pouvez par exemple faire des anecdotes pour détendre l’atmosphère.

Les membres du jury poseront des questions pour mieux comprendre votre document ou pour tester votre maîtrise. Pour ne pas être pris au dépourvu, il est sage de lister avant la soutenance de potentielles questions et d’y préparer des réponses.

Une bonne préparation est la clé pour réussir votre soutenance. Communiquez de façon simple et garder une bonne posture. Cela montrera au jury votre maîtrise du sujet.

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